Pour ou contre la 6e année en anglais?

Etudiante_IS Par Sophie Stival

L’école primaire de mon quartier offre depuis quelques années un programme d’anglais intensif en 6e année. Un privilège, me suis-je dit en y inscrivant mes garçons. Aujourd’hui, on nous annonce que tous les enfants québécois y auront droit d’ici 5 ans. Une très bonne chose.

Pourtant, l’idée n’est pas nouvelle. L’ADQ et le PQ avaient déjà dans le passé proposé des mesures similaires. Jean Charest a simplement réalisé le souhait de nombreux parents qui se disent favorables dans les sondages à une telle mesure. Le plus dur sera d’implanter adéquatement un tel projet. Mais d’un point de vue économique, nous devrions tous être pour.


On le sait déjà, connaître plus d’une langue est une clé qui ouvre les portes du marché du travail. Au Québec, les francophones qui sont bilingues auraient même un net avantage financier sur les unilingues francophones, rappelle dans une chronique à lire, Claude Picher de La Presse. Ce dernier fait référence au mémoire de maîtrise de Dominique Lemay sur le sujet (Université de Montréal, 2005).

À l’aide des données du recensement de 2001, on y compare les revenus moyens des Québécois, selon la ou les langues maîtrisées ainsi que la langue maternelle. Eh bien, les revenus de travail des francophones bilingues seraient 31 % plus élevés que ceux des francophones unilingues. Ce n’est pas rien!

Selon Claude Picher, cet écart s’est probablement accru depuis 10 ans. Autre constat intéressant : l’écart salarial entre les francophones bilingues et les unilingues francophones se creuse avec l’âge. Il semble que les francophones bilingues soient plus à même de monter dans la hiérarchie d’une même entreprise alors que les francophones unilingues changeraient plus souvent d’emploi et resteraient donc au bas de l’échelle salariale toute leur vie.

Un tel projet demeure ambitieux. Il y a loin de la coupe aux lèvres. Il reste maintenant à trouver les professeurs qualifiés pour le faire, et ce, même en Gaspésie et à Sept-Îles. Que fera-t-on des élèves en difficultés pour qui faire une 6e année deux fois plus vite pose un vrai défi? Un autre beau casse-tête pour nos gouvernements. 

Êtes-vous d’accord avec ce projet d’anglais intensif au primaire? Qu’en pensez-vous?

119 réflexions sur « Pour ou contre la 6e année en anglais? »

  1. ————-les francophones qui sont bilingues auraient même un net avantage financier sur les unilingues francophones————-
    Mais ont-il un avantage sur l’anglophone unilingue?

  2. oui, je suis d’accord avec cette pensée. Il est vrai que d’etre bilingue c’est un +. etre bilingue ne veut pas dire abandonner notre langue.etre bilingue et meme trilingue se sont des outils.
    Pour des raisons de santé, je vis actuellement 6 mois au E.U. et 6 mois au Québec. Oui a force du temps, je deviens de plus en plus bilingue. croyez-moi , je pense etre une tres bonne ambassadrise pour le québec et oui j’invite les gens de langue anglaise de faire comme moi et d’apporter leur dictionnaire et leurs mains lorsqu’ils viennent au québec. Je vente les beaux endroits a visiter . je fais meme des itinéraires de voyage. Je leur donne meme des mots clés anglais-francais.
    j’en revoie plusieurs qui sont venus à Québec, mt.Tremblant et ils n’ont trouvé aucun probleme de langue. avec leur dictionnaire et leurs mains, ils nous ont trouvé tres chaleureux.

  3. @Maurice Lalancette
    Selon cette analyse l’anglophone unilingue gagne plus que les unilingues francophones.
    Extrait du texte de Claude Picher: « Les travailleurs francophones bilingues trônent au sommet du classement, avec un revenu moyen de 38 851$. Ils sont suivis de près par les Anglo-Québécois bilingues, avec 38 745$. Assez loin derrière arrivent les anglos unilingues avec 34 097$. Chez les allophones qui parlent les deux langues (et souvent, dans leur cas, une troisième), le revenu moyen passe à 33 097$. Enfin, les francophones unilingues doivent se contenter d’une cinquième place, à 29 665$. Autrement dit, l’écart entre le francophone bilingue et son compatriote unilingue est de 31%, ce qui est énorme. »

  4. À tout ceux et celles qui souhaitent le bilinguisme absolu pour tous les francophones du Québec, je crois que vous faites fausse route. Vouloir que tous les francophones soient bilingues équivaut, selon moi, à admettre que le français n’est plus nécessaire pour gagner sa vie au Québec, que c’est l’anglais qui doit prédominer. Bien sûr il y en a qui vont me dire «Je suis bilingue et je n,ai pas perdu mon français, mes enfants non plus.» J,en suis fort heureux. Mais qui ne vous dit pas que certaines personnes, sachant maintenant l’anglais, dans un continent à 98 % anglophone, dans un milieu de plus en plus bilingue, ne décideront pas d’abandonner le français? C’est ce qui est arrivé progressivement aux populations francophones des États-Unis, puis dans le reste du Canada. 13 millions de personnes sont d’origine française aux États-Unis, seulement 1,600,000 parlent encore le français. Dans le reste du Canada, plus de 2 millions de personnes sont d’origine française, 1 million ont le français comme langue maternelle le français, et seulement 600,000 l’utilisent principalement. Il faut prendre cela sérieusement en considération.
    Si ça arrive, ça ne sera pas évidement tout le monde qui perdront la langue. Ca se fera de façon progressive. Si 10 % des francophones du Québec décdent de passer à l’anglais d’ici 30 ans c’est 600,000 personnes qui va vivre en anglais, donc ils vont vouloir que leurs enfants soient à l’école anglaise, avoir des services en anglais ect, puisqu’ils ne vivrotn qu’en anglais, ce qui va grossir encore plus le poids de la communauté anglophone. Et si tout le monde parlent de plus en plus anglais, les prochains 30 ans verront une autre proportion de francophones adopter l’anglais, proportion toujours plus grande. La taille des institutions anglophones grossiront sans cesse, alors que celle des institutions francophones baisseront sans cesse
    Oui apprendre l’anglais est un atout non négligeable, mais il est faux de dire qu’on ne peut pas gagner sa vie en français au Québec. La priorité devrait être donnée à l’apprentissage du FRANCAIS, et non pas sur le culte du bilingusime comme je contaste depuis quelque temps.
    De l’anglais intensif en 6e année? Oui, à une MINORITÉ triée sur le VOLET et VOLONTAIRE. Rien d’autre. Vouloir IMPOSER l’anglais intensif à TOUS les francophones est du suicide, surtout si les anglophones du Québec n’ont pas d’immersion en français pour compenser! Un peuple en situation aussi fragile que le nôtre, dans une mer anglophone sans cesse grandissante, ne peut pas courir ce risque, s’il veut garder sa culture et sa langue française.
    Qu’on aime ou qu’on déteste Pierre-Elliott Trudeau, il avait bien raison lors qu’il a déclaré «le jour où tous les québécois seront bilingues, le français sera foutu.» En sommes-nous rendu là?

  5. En tant qu’enseignante d’anglais qualifié au Bacc. en ens. de l’anglais primaire et secondaire, je reçoit cette nouvelle de façon très positive. Mes élèves et les parents souhaitent que leurs enfants fréquentent l’anglais intensif mais il n’y a que très peu de places actuellement.
    Il a été prouvé que l’apprentissage d’une langue seconde et même tierce augmente les zones grises des cerveaux des enfants. Entre 3 et 8 ans, un enfant qui apprend une langue seconde a de très grande chance d’être bilingue et de ne pas avoir d’accent. Entre 8 et 12 ans, le phénomène de la latérilisation se produit, ce qui régresse le niveau d’apprentissage des enfants après cet âge. C’est pourquoi lorsqu’on est adulte et qu’on apprend une nouvelle langue, on traduit dans notre tête un mot. Ex. Chat = cat. Les enfants ne le font pas, eux ils comprennent et ne traduisent pas d’une langue à l’autre.
    Je souhaite moi-même que mes 2 enfants fréquentent l’anglais intensif. Leur apprentissage en bas âge d’une langue seconde (ici l’anglais) ne leur a pas fait perdre leur français même en fréquentant une école publique francophone.
    Lorsque je suis allée en Europe en voyage, les pays là-bas demandent maintenant le quatrilinguisme (4 langues) pour travailler. Dans ces pays, on y enseigne 4 langues par pays! Alors, il est primordial de vraiment enseigner le bilinguisme de nos DEUX langues NATIONALES au Canada.
    Acquérir une deuxième langue de façon plus condensée ne fait que donner des enfants qui seront capables d’être des leaders au seins d’entreprises. Ne nous fermons pas les yeux, nous devons avoir une ouverture sur le monde, nous n’en serons que plus fiers de nos origines francophones!
    Une ensegnante d’anglais qualifiée
    Région des Bois-Francs

  6. Pour ma part, ceci est une très bonne idée !
    Je suis francophone et mon anglais n’est pas très bon. J’aimerais bien mais approchant la trentaine, ce n’est plus aussi facile d’apprendre une deuxieme langue.
    Ce que j’aurais donner pour avoir accès à des cours d’anglais intensif par le passé.
    Être billingue, ce n’est pas renié nos racines. C’est avoir un avantages sur la société. Avantages qui devient la norme partout ( et je pense qu’elle doit le devenir ici aussi).
    C’est vrai qu’en Europe, ils apprennent 3 langues dès les premières années d’école.
    L’anglais, c’est la seconde langue partout. Être bilingue, c’est pouvoir voyager et découvrir le monde sans restriction. C’est pouvoir voir un film ou lire un livre qui n’est pas encore traduit (ou qui ne le sera pas). C’est avoir accès à l’information principalement via l’internet qui est majoritairement anglais.
    Et oui, être bilingue est maintenant plus qu’un atout pour trouver un emploi. C’est indispensable.
    Je me répète, parler anglais ce n’est pas renié nos racines, ce n’est que montré que nous sommes ouverts d’esprit et prêt à s’ouvrir sur le monde !

  7. ASSIMILATION pure et simple !
    1: intensification des cours d’anglais au primaire (début dès la première année)
    2: moitié d’une année en anglais (6ieme année)
    3: pas de job pour les francophones
    4: des dessins annimés bilingue à télé québec ( Dora l’assimilatrice et son ami Diego )
    5: On retourne en arrière, les patrons seront anglais et/ou bilingue et les français devront obéir
    Pensez ce que vous voulez mais l’assimilation à déjà une longueur d’avance avec vous puisque vous êtes tous d’accord avec Charest le premier ministre le plus corrompue depuis Alexandre Taschereau!
    Et sans vous vexer je suis bilingue moi même et j’ai jamais été à l’école anglaise pour autant…
    Assimilation partout !

  8. Chère Mme Soucy, en tant que professeur d’anglais qualifié au Bacc en enseignement, vous devriez être la première à savoir que la solution n’est pas de rendre l’anglais oubligatoire en 6e année car le problème du bilinguisme vien de la pitoyable qualité des cours d’anglais au secondaire. J’ai fini mon secondaire 5 avec 98% de moyenne en anglais et je suis loin d’être bilingues !!! J’ai plus apris en écoutant The Simpson, Family Guys and South Park en anglais qu’en 5 ans d’anglais au secondaire !!! À votre place je ne serais pas trop fière de scander haut et fort que vous détenez un Bacc en enseignement de l’anglais car car les cours d’anglais c’est une vrai farce !!!
    Pour ce qui est des salaire, je ne voit aucun problème au fait que quelqu’un de bilingue gagne plus qu’un autre qui n’est pas bilingue. Ce que je trouve scandaleux c’est qu’un anglophone gagne plus qu’un francophone !!!

  9. La décision en tant que telle est bonne mais incomplète et irresponsable. Décision à l’image d’un peuple inconscient de sa valeur et de son histoire et de dirigeants aussi inconscients. Petit pas qui pourrait avoir une grave conséquence. Plusieurs n’auront pas le courage de nos ancêtres et même, si j’ose, des gens de la cinquantaine qui ont toujours luttés pour la conservation de nos valeurs et racines francaises. Plusieurs achêteront la paix et opteront pour l’anglais, sans compter les nouveaux arrivant qui le font déjà. Le bilinguisme est aussi affaire des Anglophones. Pourquoi la décision ne touche t’elle pas aussi les étudiants anglophones ? Est-ce qu’ils auront aussi droit à l’inverse, donc des cours de francais bien étoffés, afin qu’eux aussi soient bilingues. Ce serait selon moi juste.
    Je suis bilingue et rarement je rencontre des anglophones qui ront assez de respect pour s’adresser à moi en francais et ce même si je le demande dans certains magasins de Montréal et de Laval. J’ai grandi dans une petite ville tout près des E.U. et la première phrase que j’ai apprise en anglais est  »Sorry I do’nt speak english,, » Maintenant je trouve inconcevable ici à Montréal et à Laval de devoir dire  »Sorry I…  » mais surtout de me faire dire  » Sorry I don’t speak french  »
    Je rêve d’un peuple qui saura se parler et se répondre dans sa langue. Tous sans exception devraient connaitre les deux langues et ainsi se respecter mutuellement. De ce fait nous pourrions nous Québécois peu importe notre langue maternelle passer à une troisième langue et s’ouvrir sur le monde au lieu de toujours brasser la même m…. de conversation stupide et stérile.
    Juliette Jubinvillle

  10. Personnellement je crois que c’est une excellente initiative. Si tous nos enfants francophones du Québec ont la possibilité d’être bilingue par le temps qu’ils finissent leur secondaire et bien bravo. Ils s’offrent une ouverture sur le monde d’aujourd’hui et en plus l’on ne devrait plus avoir le problème des écoles passoires (nos immigrés ainsi que nos québecois français n’auraient plus le même intérêt envers les CEGEP anglophones privés).Quelqu’un qui a réussi à devenir bilingue et réalise tous les avantages à l’être n’a aucun intérêt de passer d’unilingue français à unilingue anglais. Bravo au gouvernement !

  11. Je suis absolument contre l’éducation de l’anglais en sixième années. Celà est L’OUVERTURE de L’ASSIMILATION DES FRANCAIS PAR LES ANGLOPHONES. Je vous prédit que dans vingt ans; notre langue Française sera éteinte dans notre BELLE PROVINCE.
    Je constate que les pourri au pouvoir, que nous élisons pour nous représenter, nous la population; Ne font rien pour protéger notre culture. Car c’est à lui de prendre des mesures concrètes pour protéger le FRANÇAIS au pays; et il ne fait que fournir des armes au fait anglais.
    Je trouve qu’il y a déjà trop d’anglais au pays. À la télévision, la radio,l’internet etc. Que nous sommes déjà trop envahi par l’anglais; qu’il nous devient difficile de nous faire servir en FRANÇAIS dans notre propre pays. Et combien d’emplois pourraient trouvés preneurs, si les employeurs ne demandaient pas ce critaire; Pour des emplois, qui de plus; en on pas besoins.
    Les seuls emploi ou il est bon d’être billingue selon moi; sont les domaines de la santé, du droit puisqu’eux touche vraiment au droits fondammentaux des individus.

  12. Et les anglais auront-ils des cour de français obligatoire dans leur écoles anglaises ??? Auront-ils l’obligation de parler français ??? Oui l’anglais est important mais l’espagnol aussi !!! Nous vivons dans une province où la langue française est la langue officiel. Nous avons déjà assé de difficulté à parler et à écrire un français convenable sans que l’on obliges les gens à parler anglais. Nous sommes en train de dire F*CK YOU à la loi 101 !!!

  13. Je ne vois pas ça d’un bon oeil. C’est à mon avis tandancieux et insidieux.
    J’ai commencé à apprendre l’anglais à l’école dès l’âge de 9 ans en 1954.
    C’est super de connaître d’autres langues. Mais, ici au Québec, je n’ai pas confiance dans la pûreté d’intention de n’importe lequels des dirigeants. Il y a toujours des intentions cachées.
    Une seule langue pour les terriens serait bien, mais qui voudront bien laisser la leur?
    Sûrement pas les anglais!
    Pourquoi vouloir construire l’espéranto alors que le français est déjà en partie une langue construite de Grec et de Latin avec à la source le romanche ( langue d’oil )???
    Pourquoi ne pas apprendre le Chinois? Après tout, c »est la langue la plus parée dans le monde!
    Ici nous avons 9 Provinces + les Territoires qui utilisent l’anglais comme langue véhiculaire.
    Essayez de vous faire servir en français ailleurs qu’au Québec dans notre Canada bilingue.
    Canada bilingue, quelle merde!
    Au début de la colonisation, ils nous gardaient comme esclaves. Donc nous permettait de garder notre langue. À une certaine époque, ils nous ont dit « speak white », et maintenant ils voudraient
    bien réussir à nous intégrer.
    Ce n’est pas tant l’impression de perdre progressivement notre langue qui me tracasse, mais la façon insidieuse de nous y inciter.
    Je suis bilingue avec des notions d’Italien…..:D..:D..:D..:)..:)..:)

  14. Si notre pays étaient VÉRITABLEMENT BILINGUE, mes arguments fondraient comme du beurre au soleil.

  15. @ David,
    Tu pourrais commencer par être capable d’écrire comme il faut en français avant de commenter……
    Tant mieux si les éleves commencent à apprendre l’anglais plus tot. Peut-etre qu’avec plus d’anglais, Montreal va arreter de perdre ses sieges sociaux de compagnies au profit de Calgary et Toronto. La langue officielle des affaires est l’anglais et, contrairement au francais, elle est parlée partout dans le monde. Donc, le Québec est né pour un petit pain????? Une portion des Québécois est née pour un petit pain et ce sont les Québécois qui ne veulent pas apprendre l’anglais, bien tant pis pour eux….

  16. Une mise au point
    J’écoûte toujours, d’abord, un film dans sa langue d’origine : français ou anglais
    J’ai fait de la programmation en différents langages informatiques mais tousjours avec la codification en anglais. J’ai presque toujours écoûté la télé en anglais.
    Sur mes ordinateurs, tout est en anglais.
    MAIS IL FAUDRAIT QUE NOS JEUNES CONNAISSENT PARFAITEMENT LE FRANÇAIS AVANT DE SE
    FAMILIARISER AVEC L’ANGLAIS
    Ce qui n’est absolument pas le cas depuis 1965.
    Même les enseignants font des fautes, ce qui est difficilement excusable!

  17. Merci pour ta réponse Sophie au sujet de :
    Rédigé par : Sophie Stival | 2 mar 2011 19:24:49
    @Maurice Lalancette
    Selon cette analyse l’anglophone unilingue gagne plus que les unilingues francophones.

  18. Si il y a imposition d’apprendre l’anglais dès la 6ième année,,,,,,,,,,la logique serais que les anglais apprennent eux aussi le français dès la 6ième année,,,,,,,,,,,,,car ce qui est bon pour pitou, c’est bon pour minou
    J’en ai raz le bol de voir les anglais et autres hetnies demeurant au QUÉBEC n’êtres qu’unilingue
    Pourquoi c’est toujours au pauvre franco de se plier et faire des courbettes comme dans les années pré-60
    Ouvrez votre télé ou votre radio ou même le net et 90% est anglophone
    Mr. le ministre de l’éducation vous faite fausse route et vous gaspillez l’argent des contribuables,,,,,,,,,Prenez cette argent et faites plutôt un référendum sur l’abolition des commissions scolaire (une institution qui ne sert à rien), si ce n’est qu’à gaspiller l’argent des propriétaire, prenez example de ce qu’il ont fait en Alberta
    D’une vache à lait

  19. Encore de l’appalt-ventrisme face aux anglais qui cherchent depuis 250 ans des façons d’éliminer le français de la carte Québécoise. La nouvelle méthode: on inculque aux francophones le concept que leur langue est désuette, qu’ils doivent en avoir honte et ne surtout pas l’utiliser pour qu’ils se fassent disparaître eux-même. Un genre de retour du « Speak white » que l’on vit en fait.
    Non mais là, le problème, c’est qu’on demande juste à nous de faire des efforts. On veut rendre les écoles francophones bilingues, et pendant ce temps les écoles anglaises elles restent unilingues anglaises. Un francophone se doit d’être bilingue, mais si quelqu’un parle juste anglais, c’est tout aussi valable.
    Là c’est rendu qu’il faut savoir parler anglais pour aller étudier dans des universités francophones. Non mais c’est quoi cette merde! Si j’ai envie d’étudier en anglais, j’irai dans une université anglaise et si je veux étudier en français, j’irai dans une université française. Mais là ce n’est plus ça. Si je veux étudier en français, PEUt-ÊTRE j’aurai quelques cours en français mais peut-être pas. Et si je veux étudier en anglais, là je vais pouvoir partout, même dans des unversités francophones.
    On est en train de complètement marginaliser le français, de le réduire à sa plus simple expression. On est en train de nous oter tous nos droits de vivre en français. Eh oh, on a le droit de vivre dans la dignité, de travailler et d’avoir des études de qualité en français comme n’importe qui d’autres. La dernière trouvaille: supposément qu’il faut savoir parler anglais pour défendre le français. Non mais c’est incroyable être rendu aussi soumis.
    Dans le fond, on ne demande pas au monde d’être bilingue, on leur demande d’être anglophone. S’ils parlent français, espagnol, chinois, peut importe, c’est correct mais l’important, c’est qu’ils parlent en anglais. C’est ça qu’on veut nous imposer.
    Tant qu’à faire, otez tous les cours en français et mettez 100% d’enseignement en anglais pour tout le monde. Allez! Faites comme la Nouvelle-Ecosse qui a interdit l’apprentissage du français pendant une centaine d’année, le temps d’éliminer presque tout trace de francophones pourtant nombreux dans leur province. On s’en va vers ça car là vous inculquez aux jeunes qu’il faut vivre en anglais.
    Et pendant que le Liberal Party Of Quebec fait tout en son pouvoir pour faire disparaître le français, on accueille les immigrants en anglais, on coupe les cours de francisation, on met l’accent sur l’anglais alors que les jeunes font de plus en plus de fautes, on refuse systématiquement de défendre le français dans quelque situation que ce soit. Et dire qu’après l’anglophone John James Charest ose aller se prétendre défenseur du français à l,étranger. Laissez-moi rire! Ha!Ha!Ha!
    En fait, on demande aux francophones d’être bilingue, comme ça les immigrants venant vivre ici n’auront pas besoin d’apprendre le français. On nous demande d’être bilingue, comme ça on n’aura plus à s’adresser en français aux organisations internationales. On nouis demande d’être bilingue, comme ça les employeurs venant vivre ici pourront nous imposer l’unilinguisme anglais.
    Il est temps que ce parti anti-francophone décrisse et ça presse pour la sauvegarde de notre héritage. Il est en train de tout détruire nos acquis que l’on a si difficilement pu atteindre depuis l’adoption de la loi 101

  20. L’anglais ne sert a rien,donc ne lapprenez pas et restez ignorants dans votre petit Quebec
    * Pas d’accents pour ne pas perdre du temps

  21. En fait, je crois que le problème dans ce projet ne réside pas dans le fait qu’on promouvoie plus la langue anglaise que la langue française, mais dans le fait qu’on hypothèque la réussite de nos jeunes qui ont de la difficulté à l’école.
    En effet, un élève qui a de la misère en mathématiques et en science quand on le lui enseigne en français ne va pas surtout pas s’améliorer si on le lui enseigne en anglais, au contraire. Cela pourrait lui causer un handicap qui le suivra tout au long de son secondaire, ou encore le mener carrément à l’échec.
    Je suis d’accord avec le fait que le bilinguisme est un plus, mais les mathématiques, les sciences et le français ne le sont pas, ils sont nécésaires. Voyez-vous, vivant en région, il ne m’arrive pas souvent d’avoir à faire avec des anglophones. J’ai même un peu de difficulté à parler anglais. Cela ne m’a pas empêché de bien réussir ma vie professionnelle.
    Cependant, je suis parfaitement consciente que cette réalité n’est pas la même pour tout le monde. C’est pourquoi je pense que l’on devrait totu simplement assouplir les critères du cours anglais intensif, mais pas l’obliger. Surtout pas.
    Personnellement, si j’avais un enfant qui a de la difficulté à l’école, cette nouvelle me mettrait en rogne.

  22. Le but est clair. DÉTRUIRE LE QUÉBEC et ce qui nous distinguait. Jean Charest cultive sciemment ce retour aux écoles bilingues. Allez vois les expériences dans le reste du Canada. Cela n’a rien à avoir avec l’apprentissage d’une langue. Et après cela sera tout en anglais. Il faudra bien faire un choix comme nation. Voulez-vous OUI on NON vivre normalement en ce pays. Je vous parie que le bilinguisme lui sera dans UNE direction. Il s’agit en somme de transformer le Québec en un gros trou USA.

  23. en voyage tous les quebequois venait me voir en croisiere pour savoir la tradutrion …rester dans votre petit quebec francais avec une langue

  24. @ David
    Oui! Au canada anglais, ils ont des cours de français obligatoires du primaire jusqu’au secondaire!!!

  25. Ils n’ont pas d’avantage sur les anglophone unilingue. Car ils va falloir vous y faire, l’anglais est la langue internationale. Franchement, je suis tanné d’entendre vos conneries sur l’assimilation. L’anglais, dans notre société axé sur la mondialisation, est beaucoup important que le français. Il faudrait arrêter de vivre dans le temps où la France était la puissance mondiale et que le français était la langue à parlé. Il faut vivre avec son temps. Vous pouvez décider de vous battre contre l’enseignement de l’anglais en 6ème année mais vous n’avez pas à donner un handicap à vos enfants quant au monde des affaires. Franchement, je trouve que c’est être très égoiste de fermer des portes à ses enfants pour des convictions qui date de la conquête en 1760. Nous avons notre langue et les enfants vont l’apprendre pour ne pas perdre leur héritage mais l’anglais est beaucoup plus important s’ils veulent un travail autrepart qu’au Québec.
    Cordialement,
    Jérémy.

  26. Je pense que la maternelle devrait être en anglais car un enfant de 5 ans prend 3 mois à maîtriser l’anglais, vers 14 ans çà prend 6 mois et à 40 ans pas loin de 10 ans. C’est ce que j’ai vécu avec mes enfants.
    Le plaisir c’est de pouvoir communiquer en plusieurs langues.
    Le français, il ne faut pas le perdre, c’est notre langue et il faut en être fier. Je ne pense pas que j’aurais été capable d’apprendre l’anglais en 6ième année.

  27. 6 ieme année en anglais. Vous pensez que l’on s’arrêtera là ? Mais non. Il ne s’agit pas de donner des cours d’anglais. Il s’agit à long terme d’exterminer les francophones et de détruire le Québec. On viole la loi 101. Et nous voilà maintenant avec l’anglicisation des cours de maniètes autre qu’un cours de langue. Il s’agit bien à long terme de génocider d’exterminer les francophones au nom de la ‘globalisation’. Bilingue vous dites ? Comme en Ontario Comme dans l’ouest canadien.

  28. @ Marc Authier
    Vos commentaires me donnent envie de pleurer. Vous avez l’air d’être d’une ignorance sans borne

  29. les Anglais des autre provinces apprennent le Français. Soit dès la première année dans des programmes d’immersion et ce depuis plus de vingt ans (et ils parlent courrament le Français dès un très jeune âge) Ou à travers le programme de Français langue seconde qui correspond à notre programme d’Anglais langue seconde et qui est efficace car ils apprennent de façon étonnante. Les enfants Anglophones ont alors les opportunités que nos enfants Québecois n’ont pas car leur parents sont trop occupés à ressasser le passé des Anglais patrons et des Québecoir esclaves avec une amertume qui ne mène nulle part en ne faisant que tourner en rond. Apprendre d’autres langues n’enlève rien à personne, permet une ouverture d’esprit. Mes enfants sont bilingues, maîtrisent très bien les deux langues et ne renient pas leur Langue, leur culture et leur racines Québecoise. Ma plus jeune s’apprête à étudier pour faire une carrière qui la mènera partout dans le monde. La fille d’un couple d’amis a passé l’été a travailler sur un bateau de croisière car elle parle 3 langues et maîtrise de plus en plsu l’italien. Elle a amassé assez d’argent pour payer ses études univesitaires pendant ces trois mois !
    Alors ceux qui veulent rester unilingue c’est votre affaire mais de grâce épargnez nous vos complaintes faites confiance à L,éducation et aux vakleurs que vous avez transmises à vos jeunes et laisser les autres aller vers leur oppotunités…avant que les Anglais ne les rafflent toutes ! Et pendant que vous ruminez, vos enfants resteront statut quo tandis que les autres irons plus loin, aussi loin que leur ouverture d’esprit les mèneront.

  30. Ce n’est le fait d’apprendre une autre langue qui fait problème. Le problème c’est qu’il cache un projet limpide. Détruire le français comme langue principale et officielle au Québec. Et après on demandera la 7, 8, 9, 10, 11, 12 le CEGEP, L’Université, le primaire, la maternelle. Pas besoin d’être un génies pour voir l’agenda. Il s’agit d’exterminer en douceur le Québec.

  31. Oui pour une 6 ième année en anglais. Malgré tout ce qui se dit, et je suis de celles qui veulent conserver la langue française au Québec. Mais nos enfants ont besoin de parler et écrire l’anglais pour leur avenir. La langue d’affaires internationnale est l’anglais. Chercher un emploi aujourd’hui et vous verrez que l’anglais est nécessaire.

  32. Venons-nous de commencer tranquillement notre processus d’assimilation? On ne cesse pas de nous dénigrer lorsqu’on ose avoir un réflexe protecteur face à notre langue! Lorsqu’on s’inquiète d’être assimiler, de perdre notre culture, notre identité! On nous traite de fous, de paranos, de malades et de petit peuple! On se fait dénigrer régulièrement par certains compatriotes francophones, certains allophones et anglophones! On a pas à s’inquiéter parait-il? Combien de personnes autour de moi francophones devenues bilingues ne font plus la distinction entre le français et l’anglais lorsqu’ils parlent!? Les quelques minutes suivantes ils ne savent plus s’Ils viennent de parler anglais ou français! N’y a-t-il pas de risques de perdre tranquillement notre identité et tranquillement se fondent dans celle de la majorité du continent américain anglophone et ce, tranquillement, à notre insu! Je crois que oui et je crois que comme nous sommes partis, nous existerons plus d’ici quelques décennies! Plusieurs sont prêts à vendre leur langue pour du cash!

  33. Je crois que maîtriser l’anglais en tant que langue seconde est important, autant qu’il est excellent pour un anglophone de connaître le français. Toutes les connaissances qu’on a la chance d’acquérir sont des avantages dans la vie. Je ne comprends pas ces francophones unilingues qui sont convaincu que la connaissance de l’anglais éliminera le français dans le futur. Cela fait des centaines d’années qu’il y a des Québecois bilingues et pourtant le français est encore présent… Oui, il est vrai que les jeunes ne savent pas écrire sans fautes mais, sommes nous si certain qu’il y a uniquement les francophones qui possèdent une orthographe douteuse? Si vous avez tant peur que vos enfants ne voudront plus parler en français s’il connaissent l’anglais et bien vous avez sans doute une faible estime de notre belle langue. L’avenir appartient à ceux qui ont la chance de possèder l’ouverture d’esprit nécessaire pour évoluer dans cette période de mondialisation. Connaître une deuxième langue, la plus usuelle sur la planète, c’est un outil puissant.

  34. Allez voir ce qui est arrivé aux francophones hors Québec dans leurs ‘half half’ écoles bilingues. L’assimilation galopante et l’extermination TOTALE. Vous êtes naifs si vous pensez qu’il ne s’agit que de langue d’enseignement d’une langue seconde quelconque. Il s’agit de détruire nos écoles françaises de l’intérieur. Et dans 50 ans ce qui reste de français au Québec, aura été exterminé. Avec 54,000 immigrants par année, dont 40% sont anglophones, l’exéctermination de langue française au Canada aure été complète. Encore une fois. Il ne s’agit pas d’enseigner une langue mais d’en exterminer une à pettit feu. Allez voir dans le reste du Canada. C’est ce qui nous attend. Le projet politique du PLQ c’est de transformer le Québec en cimetière pour le Québec français.

  35. merci de rester ignorant petit peuple rester nous toute la place sur le marcher du travail merci encore…encore…encore…encore

  36. Apprendre l’anglais ou une autre langue étrangère est une bonne chose et j’encourage le monde à le faire. Par contre il ne faut pas que se soit toujours aux mêmes personnes de demander à efforts (les francophones). Il est pour moi inadmissible et intolérable que des immigrants qui s’installent au Québec ne fasse pas d’efforts pour s’intégrer et pour apprendre notre langue, ça c’est inadmissible et je me bâterai contre ça toute ma vie.
    Tout le monde doit faire des efforts pas seulement les francophones.

  37. Bien enseigner l’anglais aux jeunes de 6e année, ce n’est pas un problème. C’est une obligation. Il faut cependant nuancer…Bien enseigner une langue seconde, oui. Ne poser aucun geste pour assurer l’avenir du français, non!
    C’est précisément ce qui caractérise notre premier ministre et son gouvernement. Leur inertie totale quand vient le temps d’assurer la primauté de la langue française au Québec, sauf dans les discours. Alors, enseignons bien l’anglais et contentons-nous d’espérer que le français survivra. Mais pour cela, rien! Que de voeux pieux!
    Commençons par faire du français la langue du travail, commençons à l’enseigner aux nouveaux arrivants et faisons du français la langue commune du Québec. Ensuite, peut-être que nous pourrions enseigner convenablement dans nos écoles pour que nos enfants soient bilingues. Malheureusement, le bilinguisme, dans les conditions actuelles, ne peut mener qu’à l’anglicisation du Québec.

  38. Francophones au Canada. 33% 1950. 2011 20% ! NAZIS LIBÉRAUX FÉDÉRALISTES. Les chiffres viennent de statistiques Canada. Les chiffres ne mentent pas. Encore une fois. Il ne s’agit pas d’une question d’apprentissage de langue. II s’agit de DÉTRUIRE le français tranquillement mais sûrement. Au primaire, Au secondaire, Au CEGEP, A l’Université et dans le monde du travail.

  39. La meilleure action que le gouvernement ne puisse effectuer. Oui il faut que nos jeunes apprennent l’anglais afin d’être aptes à aller partout dans le monde vanter notre nation francophone. Notre avenir et notre développement passent par le bilinguisme de notre progéniture, de notre jeunesse. Mes enfants ont bénéficié de ce superbe programme et je suis très reconnaissante du fait qu’ils aient pu en profiter. Aujourd’hui ils sont de jeunes adultes en action et toutes les portes leurs sont ouvertes grâce au bilinguisme, dont la langue internationale anglaise. N’ayez crainte, un Québécois reste un Québécois et on ne déracine pas la langue maternelle  »française » même en y mettant bien des efforts.

  40. Moi je suis en désaccord avec l’ajout de l’anglais obligatoire en 6e année. Je serais d’accord pour offrir, en option, un cours d’anglais avancé aux élèves qui maîtrisent bien les matières de base ou qui désirent approfondir un niveau d’anglais déjà existant. Pas imposer l’anglais à ceux qui en arrachent déjà ou qui sont très peu exposés ou très peu susceptibles d’être exposés à cette langue (il y en a beaucoup au Québec). Moi je suis presque bilingue parce que j’aime apprendre l’anglais mais je sais très bien que ça ne veut rien dire à certaines catégories de personnes. L’anglais serait pour moi une surcharge pour ces derniers et ajouterait un autre clou dans le décrochage de certains élèves. Tout le monde n’a pas les mêmes besoins.

  41. Statistique CANADA. Ignorants ? 1950: 33% Canadiens de langue française. 2011:20% .
    Pas vraiment. Vous êtes des … si vous pensez que l’agenda principal n’est pas l’extermination et le génocide des francophones au Canada. Il ne s’agit pas d’apprendre une langue seconde. Il s’agit de DÉTRUIRE la valeur culturelle, économique et 1950Lpolitique du français. C’est clair.
    90%des jeunes franco ontariens ont complètement perdu TOUT ce qui restait de leur langue.

  42. Je trouve que c’est une excellente idée.
    Cependant, il faudra penser aux élèves qui ont de la difficulté en anglais. Des classes de forces différentes devront être pensées: anglais de base, anglais fort…
    De plus, une chose très importante, ce sera (hé! oui!) de diminuer le nombre d’élèves par classe. Parce que l’apprentissage avec, en moyenne, 30 élèves par classe, ça ne donne pas de très bonnes notes pour les élèves qui ont souvent besoin de plus d’informations que d’autres.
    Je dis comme vous Mme Stival: «Un autre beau casse-tête pour nos gouvernements.»

  43. Je suis tout à fait d’accord avec l’implantation de l’anglais intensif en 6 iène année.. D’ailleurs, si cela était possible, cette immersion devrait être faite même plus jeune (dès la 3 ième année). Apprendre une langue ou plusieurs langues est une richesse. Il ne faut pas voir cela comme une menace pour le français. L’anglais est la langue internationale des affaires et elle est souvent la langue de communication lorsque nous sommes à l’étranger. C’est une faveur pour nos enfants que de leur apprendre l’anglais.

  44. Je trouve que s’est une très bonne idée parler plusieurs langue aujourd’hui c’est très important de parler plus qu’une langue! L’anglais est une langue internationale si on ne la parle pas contrairement a ceux qui croit que c’est pour détruire l’économie moi je dis go pour l’économie pour la société et notre future! Moi je suis trilingue et je vous le dis c’est très utile! Ex: hier, j’étais au chinatown et le commis ne comprenais aucun moi francais comment j’aurais fait si je ne parlais pas l’anglais! Il ne faut pas aller très loin pour avoir besoin de parler en anglais! Par contre je ne sais pas comment il vont s’arranger pour les élèves en difficultés(es) je crois que c’est un problème!
    C’est à suivre!

  45. je suis pour 🙂 lorsque j’était en 6e année jai eu le 1/3 de mon année en anglais et maintenant je suis vraiment contente de comprendre l’anglais. jaime beaucoup voyagé donc c’est très utile de parlé anglais. De nos jour presque tout les job on besoin de personnes qui comprennent l’anglais.

  46. l,anglais ,a l,école doit rester accessible pour les enfants qui veulent l,aprendre,mais les profs d,anglais au niveau élémentaire son nul,ils ne sont pas bilingue et ne font que suivre un programme qui est quand meme bien fait,sauf que le professeur ne connait pas l,anglais assez pour l,apprendre a nos jeunes.

  47. http://www.ocol-clo.gc.ca/html/stu_etu_imm_022002_p5_f.php
    Commissaire aux Langues officielles du Canada.
    Assimilation ! Est-ce-clair ? Encore une fois. Vous voulez apprendre l’anglais. Demandez de l’immersion pendant l’été dans des cours de langues spéciaux, pas dans l’enseignement de matières. Allez voir encore une fois dans le reste de votre Canada pseudo-‘balingue’ ce qui est arrivé aux Canadiens-Français.

  48. Attention on va tous exploser ! LOL N’apprenez pas l’anglais vous aller devenir mauves à pois jaunes ! Encore mieux vous allez vous transformer en schtroump ! Oui Tous des petits schtroumps bleus ! Et le Schtroumps grognon là il est vraiment mais vraiment pas content ! Nous sommes envahis par les extra terrestres qui vont tous nous extérminés !
    Et quand la fin du monde arrivera, on va tous finir de la même façon qu’on parle l’Anglais ou pas alors en attendant il fait beau dehors et je vais aller en profiter. Mon coeur sera en meilleurs santé, mon taux de cholestérol sera mieux équilibré et bien sur ça me permet d’éviter de devenir un espèce de parano déchaîné non diagnostiqué qui devrait prendre des pillules (ou les lâcher), d’humeur masacrante !
    Allez hop et profitez du printemps qui approche !

  49. Et le français lui au fait, a-t-il la cote au Canada ou même au Québec dans les écoles anglaises ? L’enseignement de l’anglais ne serait pas un problème si justement les Anglos Québécois et les immigrants ne crachaient pas et ne vomissaient pas constamment sur le français comme langue d’enseignement, de culture et de travail. Venez faire un tour à Montréal.

  50. C’est un beau projet mais comme tout les projets en éducation très difficile à mettre en pratique…Comment fera t’on pour les classes multiples de 2 et 3 niveaux? Les jeunes qui connaissent déjà des difficultés d’apprentissage? Et quelle sera la suite au secondaire? Comment fera t’on aussi pour passer à travers le programme quand on sait que déjà on a de la misère à atteindre les objectifs exigés actuellement? On n’a pas ou à peine encore fourni le matériel aux professeurs suite aux derniers gros changements en éducation qui datent de plus de 5 ans. Les professeurs doivent vivre avec les changements mais le support est rare pour les aider à passer au travers. Les théories sont souvent belles mais très difficile à mettre en pratique.

  51. Je suis à inscrire ma fille dans un bain linguistique ,pour sa 6ème année.Les critères sont actuellement sévères.Les enfants doivent avoir une moyenne de 80% ,au moins, pour être acceptés.Si elle n’avait pas une moyenne plus élevée(plus de 90%),je ne l’inscrirais pas.Je pense que les enfants doivent bien maîtriser la base avant de pouvoir accéder à ces programmes.Il faut éviter de les placer en situation d’échec.Je suis une personne pour qui la maîtrise du français est primordiale,mais ,ne mettons d’oeillères,nos enfants auront besoin d’une langue seconde pour avoir un plus vaste choix de carrières.

  52. Est-ce qu’on peut me dire si, dans les écoles anglophones du Québec, on envisage de faire la même chose? J’aimerais savoir ce que nos compatriotes anglophones pensent de l’idée que leurs enfants étudient uniquement en français pour une moitié d’année? Ce qui est bon pour les francophones doit être bon pour les anglophones, non ??

  53. BONSOIR MARC AUTHIER fait un beau dodo en francais… mais ronfle en ANGLAIS ……..TU FAIT DUR MON PETIT

  54. Et oui, l’assimilation est toujours en processus! Comme disait l’un de nos historiens réputé au Québec dont j’oublie le nom malheureusement, l’anglais se s’apprend pas, mais s’attrape!
    Ce n’est pas une question que d’être québécois qu’on y restera à jamais, mais le fait de bien maîtriser notre langue maternel avant d’aller voir ailleurs. SI on reste au QUébec on ne devrait aucumenet avoir de la difficulté de vivre en Français au Québec, car celle-ci doit primer sur toutes les autres langues! Je ne me plein pas juste pour notre langue, mais aussi pour tous les pays qui ont des langues se différentes. En effet, la  »mondialistion » merdique fait en sorte au contraire que nous allons au contraire vers une seule culture unqiue au niveau mondial. C’est vraiment dommage, car chaque culture à ses beautés et malheureusement perdre sa langue entre autres, en fait partie.
    Travailler pour l’étranger c’est une chose, mais pour les affaires local ça ne devrait en aucun cas être une obligation! Au primaire tel au secondaire, ceux-ci devraient se concentrer uniquement sur des cours de bases. Ensuite, tel au cégep ou à l’Université par exemple, ceux et celles qui le voudront auront qu’à mieux se spécialiser tel qu’apprendre l’Anglais!
    Ça ne serait que de retourner davantage le poignard dans la plaie des francophone que de faire la bêtisse d’appliquer la sixième année en anglais, pour ne pas dire le  »boutte du boutte »! Ceucx et celles qui jugent cette possibilité comme accpetable c’est tout simplement que vous êtes des ignorents, des inconscients et qui se crissent tout bonnement de se faire assimilier et de la perte des Québécois et Québécoises francophone. Ceci est en plein le genre de réflexin qui amènera notre perte par notre génécode linguistique, pour commencer, et ensuite tout le reste qui suivra. Un moment donné, assez c’est ASSEZ! Et lorsque des gens seront assez écoeurés de se faire marcher dessus, ils se feront appelé des extrémistes! La beauté du monde est la diversité, et malheureusement ici au Québec, notre langue et notre culture ne s’ont pas encore assez ampreingnées pour faire en sorte de leurs absolutés qu’ils survivront par les  »coups de canons » régulièrement provenant de notre gouvernement !

  55. Je suis enseignante de 6ème année. Je ne suis pas contre cette idée…mais je suis inquiète. Personnellement, je me débrouille en anglais mais pas assez pour l’enseigner. Que vont-ils faire avec des enseignantes comme moi (Il doit y en avoir plusieurs!)? Je devrai changer de niveau? J’aime la 6ème année. C’est une étape charnière. Avec les examens du Ministère déjà consistants, que vont-ils décider? Le classement pour le secondaire se fiera sur quoi? De bonnes questions à poser, non?

  56. Ouuuuuufff, y’a des maniaques délurés par ici. On propose une idée et hop, on parle de sacrilège de la langue française, assimilation et j’en passe! Euh, allô…?
    L’idée d’une 1/2 de 6eme année en anglais est bonne, mais je suis d’accord pour dire que les anglophones doivent aussi avoir une demie-année de français. Mais avant de commencer à paranoïer, je vous rappels que c’est UNE DEMIE-ANNÉE, pour des ENFANTS de 10-11ans! C’est pas comme si c’était toutes les études! Allô! Une demie-année en…11ans d’études obligatoires? Si l’enfant va au secondaire en Français, je ne vois pas comment il pourrita perdre sa langue. Ça sera juste de l’enrichissement, rien de plus.
    Je suis désolée pour les pro-francophones frustrés, mais l’avenir, c’est de parler plusieurs langues. Aucune assimilation là-dedans. Vous voulez privez vos enfants d’une chance juste parce que vous êtes frustrés? OUI, les anglophones doivent avoir la demie-année aussi, OUI les immigrants doivent apprendre aussi le français, mais il ne faut quand même pas juste se centrer sur nous. Il faut s’ouvrir aussi. Les gens seront davantages intéressés à apprendre le français avec une approche positive et entrainante, au lieu d’une « gang » de frustrés!
    Je suis au Cégep, et je regrette sincèrement qu’on ne m’ait pas poussé à apprendre l’anglais quand j’étais plus jeune, car en vieillissant, c’est plus difficile. Je regarde des films en anglais ou en français, selon mon humeur.
    NON je ne dénigre pas le français. C’est une langue magnifique, variée ( enfin, quand c’est pas des imbéciles qui parlent  » de mêm’ tsé toé gros cave de calisse de torieux dégage d’la route à marde avec ton char sale « . Quand j’entends ça, j’ai honte du tort qu’on fait avec notre si belle langue). J’adore le français, je suis fière de la parler. J’essaie d’apprendre le plus de mots, de composer des belles épopées ou des chansons, car le français nous offre plusieurs mots pour une même émotion, un même sentiment. Et quand je lis des commentaires, je remarque que ce sont des personnes plus âgés ( 30-40-50 ans) qui écrivent mal. ( Et ensuite on insulte les jeunes en les traitant d’analphabètes? Merci…). Bref, je m’éloigne du sujet.
    Donc OUI pour un cours intensif, mais AUSSI pour les anglophones!

  57. http://www.ocol-clo.gc.ca/html/stu_etu_imm_022002_p5_f.php
    Hey Jérémy Besserer. On voit que vous ne comprenez rien. Ce n’est pas l’anglais qui a un problème au Canada comme langue seconde. Je n’ai même pas besoin d’aller chercher des recherches partisanes. La triste réalité c’est que l’anglais est déjà omniprésent et il est pour ce qui reste du français au Canada une menace aussi dangeureuse que les Nazis l’étaient pour les Juifs. C’est la RÉALITÉ. Dans 30 ans le Québec aura disparu culturellement. Sale hypocrite. Les données viennent de votre pays le Canada.
    Encore une fois, ce n’est pas l’apprentissage le problème c’est l’agenda politique. Détruire la loi 101. Détruire le français et bien communiquer à tout le monde que le français langue internationale de 300 millions de personnes, autant que les USA, n’a pas la cote.

  58. Peut-être vous n’avez pas encore remarqué, mais l’anglais semble toujours prendre un peu plus le dessus dans notre système d’éducation « francophone ». Dernièrement, la loi qui permet d’étudier en anglais, avant cela les garderies pour apprendre l’anglais, puis les classes un peu plus nombreuses en troisième année du primaire. Le gouvernement nous prend vraimeent pour des imbéciles, et le pire c’est que ça marche: petit à petit, en douce pour éviter le scandale, on piétine cent ans de d’histoire de combats pour le respect du Français en Amérique, et on acclame les mesures prises!
    C’est bien beau tout basé notre raisonnement sur des présumés meilleurs futurs salaires pour la jeunesse, mais j’aimerais bien savoir si dernièrement le Français ou l’anglais était devenu soudainement beaucoup plus facile à apprendre? Car sinon je ne vois pas comment, dans un même temps donné, nous pourrions enseigner le double sans dégradé la qualité de l’enseignement.
    Mais bon, ce n’est qu’un le point de vue d’un étudiant, alors ça vaut bien ce que ça vaut.

  59. Je ne suis pas d’accord, pour plusieurs raisons.
    1. Qui enseignera? Il manque déjà d’enseignants d’anglais langue seconde dans certaines commissions scolaires…où trouvera-t-on suffisamment d’enseignants légalement qualifiés? On peut compter sur le gouvernement pour que ce soit précipité, mal implanté et très mal préparé, je n’ai aucune confiance en eux pour mettre ce type de projet en place.
    2. L’immersion n’est pas absolument nécessaire pour l’apprentissage de l’anglais. Voyons! L’anglais, ce n’est pas sorcier! Quand j’ai fait mon primaire, les cours d’anglais ne débutaient qu’en 4e année. Pourtant, cette base a été suffisante pour me donner un anglais fonctionnel. Je suis devenue bilingue avec des romans anglais et un bon dictionnaire anglais-français. « That’s it », comme on dit.
    3. Qu’en est-il des élèves en difficulté? Ils seront encore plus démotivés…misons sur un enseignement francophone de qualité d’abord. Un élève qui réussit bien sera plus motivé d’apprendre une nouvelle langue (et je le répète, c’est possible de le faire sans l’aide de l’école).
    4. Je crains, comme plusieurs, la lente et subtile assimilation qu’on tente de dissimuler sous de beaux prétextes comme le bilinguisme…d’ailleurs, parlons-en de bilinguisme! Si on m’assure que TOUS les élèves de 6e année fréquentant une école au Québec apprendront une langue seconde de façon intensive (l’anglais pour les francophones et le français pour les anglophones) je serais peut-être un peu plus réceptive. Ne me dites pas que l’anglais est nécessaire pour le travail. Je le sais. Le français, quant à lui, est porteur de culture, d’identité. Que les anglophones du Québec l’apprennent ne les aidera peut-être pas à se TROUVER un emploi, mais les aidera à offrir un meilleur service à tous leurs clients. C’est la moindre des choses.
    Bref, ce projet est encore trop embryonnaire pour penser que c’est la solution idéale. Le bilinguisme oui, mais pas à n’importe quel prix. Et si on va de l’avant, qu’on l’applique pour tous, anglos et francos.

  60. Le jupon dépasse. Bilinguiser l’enseignement de matières va avoir des effets terribles. La réalité c »est que rien n’est fait pour faire la promotion du français au Québec. On voit tout à fait le plan. Il ne s’agit pas d’enseigner une langue seconde lorsque vous commencez à enseigner les mathématiques ou des cours de science en anglais. C’est limpide. Bilinguisme hypocrite en effet.
    Comme le Canada qui prétend faire la promotion du français. Il s’agit au nom du pseudo-bilinguisme d’imposer le bilinguisme à sens unique. Comme dans le reste du Canada. Vous êtes tous bien naifs si vous pensez qu’on restera là. Le français est attaqué viollemment de toute part comme langue de travail à Montréal. Bilinguisme mon cul. Comme à Ottawa. Comme à Vancouver ? Bah comme Montréal.

  61. Marc, calme-toi un peu, c’est juste une demie-année 😉 C’est pas toutes les études! Et je suis sûre que les Québécois se laisseront pas faire si les anglophones ne doivent pas apprendre le français!
    Et puis, c’est juste une idée. Comme le dit Guylaine, on est encore loin à avoir les effectifs pour!

  62. Je suis tout à fait en accord avec CAROLINE. Les enseignants malgré toutes leurs bonnes intentions ne sont pas en mesure de réaliser un tel projet sans nuire aux élèves qui éprouvent différentes difficultés. Bons nombres d’enfants en 6ième ont peine à comprendre un texte ou à s’exprimer dans leur langue. J’essaie d’imaginer par exemple tout le vocabulaire mathématique, scientifique, déjà difficile pour l’élève alors on doublerais sinon plus les problèmes.
    En matière d’évaluation on demande de faire preuve de jugement, d’équité… comment évaluer leurs compétences si une telle mesure se réalisait!
    Je suis tout à fait en accord avec le fait que l’anglais est une langue d’excellence pour s’ouvrir des portes dans la société. Seulement, tous n’ont pas l’intelligence linguistique très prononcée.
    Ces contraintes et d’autres sans doute devront être analysées avant d’ouvrir la machine à ce changement.

  63. Effectivement. Je vous parie que les enseignants cette fois-ci ne prendront pas à la légère cette niaiserie. Enseigner les mathématiques est déjà une tâche ardue. Vous vous imaginez un peu le genre de non sens. On engage un professeur pour enseigner les mathématiques et en plus vous lui imposez de donner des cours de langue ! ………………..Vous ne faites pas la différence avec l’apprentissage d’une langue et le bilinguisme, le pseudo-bilinguisme.

  64. Talie +1
    Je suis allée au secondaire privée ( pas de critiques merci, je regrette pas du tout mon choix 🙂 ) et TOUS nos profs d’anglais ne parlaient pas français ( ou du moins, faisait comme si lol! On leur parlait en français par exemple, et ils disaient: What? I don’t understand!) et je trouve que c’est excellent pour apprendre à parler anglais 🙂 Parce quand ton prof s’appelle genre Francine Gagnon, parle pas un mot anglais et fait juste donner des textes aux élèves, comment veux-tu qu’ils apprennent l’anglais?
    Avant de proposer l’étude intensif de l’anglais, il faut avoir des professeurs compétents PARTOUT en province, même à St-Meuh-Meuh-de-Clin-Clin!

  65. Allons Mesdames et Messieurs. Qui a la cote ?
    A lire les propos on comprend très bien qu’il y a de ces Québécois qui ne comprennent pas comment l’assimilation est ENCORE un problème. Eh oui.
    Et ce n’est surtout pas ce genre de projet qui va mettre fin au déclin du français au Québec et au Canada. En réalité on commence par la 6 ieme mais dans 10 ans les mêmes qui nous parlaient de ‘bilinguisme’, parleront tout simplement l’anglais et rien d’autre. On a troué la loi 101. Et dans 10 ans on prendra bien soin d’offrir le ‘libre choix’. Welcome to the good old days et ‘Speak white.’
    Car de l’autre bord on se frotte les mains d’aise et se torche du français comme langue officielle. Oui bilingue dans une seule direction. On connaît l’histoire voyez-vous. On sait ce que cela va donner.

  66. C’est une tres bonne nouvelle. Mon garcon est ingénieur en télécommunication.
    L’an dernier ilest allé faire un stage en San José Califournie. Pensez vous que le stage était en Francais??
    Quand il communique avec les ingénieurs des Indes, des U.S.A. et autres c’est en francais vous pensez?? De toute facon le P.Q. est pour aussi

  67. À mon avis, il s’agit clairement d’une tactique d’assimilation déguisée des francophones. Ce que je trouve étrange depuis quelques années, c’est qu’on donne beaucoup d’importance à l’apprentissage de la langue anglaise, mais absolument AUCUNE à l’apprentissage de notre propre langue, la langue française. Personne ne s’inquiète de la qualité du français écrit et parlé au Québec, car le français, ce n’est plus à la mode, ce qui est « in » c’est d’être bilingue. De plus, pour quelle raison, un jeune demeurant à Saguenay ou à Baie-Comeau aurait-il besoin de recevoir sa 6ième année en anglais ? À mon avis on exagère largement le besoin d’être bilingue au Québec. À moins de vivre ou travailler à Montréal en compagnie d’anglophones, il est toujours largement possible au Québec de vivre en français seulement. Le français est notre langue, je ne vois pas pourquoi on devrait se sentir diminué de ne pas parler anglais. LE FRANÇAIS N’EST PAS UNE LANGUE INFÉRIEUR. Moi je vis à Québec et je n’ai absolument pas besoin de parler anglais, je parle français seulement et je ne m’en sent pas diminué. Au contraire, car je suis fier de ma langue, car le français est une belle langue et je me fout de l’anglais car c’est la langue d’un autre peuple.

  68. Etre enseignant de mathématique ou de science, j’enverrais promener Charest et sa bande d’imbéciles. Ce projet pue. Il sent l’électoralisme de bas étage. La manière intelligente serait d’envoyer les enfants faire un stage d’été par exemple en Ontario. Province bilingue dont la langue officielle est l’anglais et l’anglais. Comme dans le ‘West Island’ chez nos chers amoureux du français de Westmount et TMR. J’espère que les enseignants vont mettre le point sur la table.

  69. À mon avis, faire la 6è année en anglais intensif est une pratique qui devait se faire depuis fort longtemps, et cela n’a rien à avoir avec le principe de l’assimilation. Parizeau et sa clique ont bel et bien étudié en Engleterre, USA et que dire de leurs enfants. Qui sont ceux qui occupent des postes de direction avec tout le pouvoir qui va avec? Ce ne sont pas les québécois qui francophones qui ont de la difficulté à maintenir un emploi parce qu’ils ne sont pas bilingues. Donc, chers amis, laissez vos enfants apprendre le plus de langues possible car ils vous remercieront plus tard. Vous me direz que mon nom sonne importé? Certes, mais sachez que le français est le plus beau cadeau que mes parents m’ont appris en plus de ma langue maternelle.
    Le français est une des plus belles langues parlées mais l’anglais est la clé de l’avenir. Pensez-y avant de crier au loup!
    Fadila

  70. Mes racines sont ici Louis. Colonisé dans le cerveau. On peut maîtriser l’anglais sans être obligé de détruire notre culture et notre système d’enseignement. Vous avez le reste du Canada, le West Island et toute les USA ! pour l’apprendre l’anglais. Dans le fond on est toujours pris avec une bande d’imbéciles qui pense que l’anglais va comme par magie leur donner une job. Imbéciles. Et le reste ? En plus ce n’est même pas vrai parce que les unilingues anglos, ces racistes qui crachent sur le français même au Québec !, se débrouillent très bien. C’est ça être colonisé.

  71. moi aussi je trouve décevant qu’on veuille obliger les enfants à apprendre l’anglais , tandis que l’on ne fait pas la même chose pour les anglophones !!

  72. Cela va de soi,dans un pays bilingue.
    l’äge le plus propice pour les langue est 4à6ans (phonétique,language verbal)
    dàs la 4e année primaire serait le mieux,pour l’écrit.
    faisons diversion: un cours d’histoire du Canada et du Québec,surtout,serait essentiel à tous ces écoliers.
    C’est important de savoir d’ou l’on vient,nos ancêtres,l’Évolution de l’homme au travers du temps..

  73. C’est bien mais ça ne devrait pas être obligatoire, les jeunes ont de la misère avec leur propre langue à la parler et surtout à l’écrire, ça me fait peur nous sommes au Québec et j’ai peur de perdre notre langue, ça devrait être la même chose pour les anglophones le français à partir de la 6e années, pourquoi nous, après tout nous sommes au Québec et le français c’est notre langue c’est notre culture pourquoi tout changer, d’après moi il vas avoir plus de décrochage et moins d’intérêt dans les écoles, il y a des jeunes qui n’ont même pas un secondaire 5 je ne suis pas d’accord avec ça, c’est très dommage car sur le chemin de l’emploie pas de secondaire 5 tu ne vas pas très loin.

  74. @Marie
    Bilinguisme à sens unique. Rien de bien surprenant. Les gens qui votent pour le PLQ haissent le français et le Québec. Voyez-vous les anglophones dans leur grande majorité crachent sur tout ce qui vient du Québec et ils VOTENT Charest. Pas question de forcer les anglophones et même les immigrants à apprendre le français. C’est là le vrai scandale. Encore une fois. C’est l’agenda qui l’on doit dénoncer.

  75. @Manon Boivin
    Justement. A peu près rien pour le décrochage scolaire. Rien pour le français. Rien pour le décrochage scolaire. Mais si les gens du PLQ pouvaient fermer toutes les écoles françaises pour faire plaisir aux anglos, aux immigrants qui haissent le français et à nos French-Canadians colonisés, ils le feraient SANS HÉSITATION ! dès demain. Aucune illusion là dessus. On le fait petit à petit. Un trou dans la loi 101 (200 plus exactement!). Apprendre une autre langue n’est pas la question. On vient anglisicer à petit feu le système d’enseignement ! Ce n’est PAS DU TOUT la même chose.

  76. L’anglais ne devrait pas être obligatoire, ça fait peur j’ai peur de perdre notre langue nous sommes au Québec la langue c’est le français c’est notre culture, pourquoi ne pas imposer le français au anglophone à partir de la 6e année, quand ont vas en voyage ont se débrouille pour se faire comprendre, dans tout ça dans nos écoles, des décrocheurs ils vas en avoir encore plus qui ne finiront pas leur secondaire 5 c’est dommages, tout pour décourager les jeunes.

  77. JE SUIS TRES D’ACCORD AVEC LA PERSONNE QUI DIT SI CELA EST BON POUR LES FRANCOPHONES CELA DOIT ETRE BON POUR LES ANGLOPHONES MAIS BIEN SURE CELA EST TOUJOURS A SENS UNIQUE .POURQUOI QUAND IL IL A UN GROUPE DE FRANCOPHONE, IL ARRIVE UN ANGLOPHONE TOUS LE MONDE PARLE EN ANGLAIS MAIS AVEZ VOUS VU LE CONTRAIRE DANS UN GROUPE D’ANGLOPHONE UN FRANCOPHONE ARRIVE LE MONDE SE METTRE A PARLER FRANCAIS BIEN NON .APRES ON DIT QUE LES FRANCOPHONE NE VEULENT PAS METTRE DU LEUR BIEN MOI JE DIS QUAND LES ANGLOPHONE SE FORCERONT A PARLER CELA VOUDRAS LA PEINE QUE NOUS PARLIONS ANGLAIS NE SOMMES NOUS PAS UN PEUPLE BILINGUE .N’OUBLIER PAS QUAND TOUS LE MONDE PARLERAS ANGLAIS ILS N’Y AURAS PLUS DE MEILLEUR SALAIRE,DONC CELA N,EST PAS UN BON ARGUMENT FAUT VOIR LES CHOSES COMME IL SONT

  78. @Manon
    Speak White. C’est toujours à recommencer au Québec avec la langue. Speak White. C’est ce que l’on continue à nous dire dans certains commerces à Montréal. Si au moins les imbéciles qui veulent à ce point apprendre l’anglais au prix de tout bazarder comprenaient bien ce que des gens comme Jean Charest pensent du Québec. Ce puant est un anglo québécois. Rien de bien surprenant que TOUTES les mesures, TOUTES les mesures sont prises en direction de bien entrer dans la tête des gens que le français ne doit surtout pas être une langue de commerce, de culture et de pouvoir important même au Québec. Promenez-vous à Montréal. On se prépare en effet à nous exterminer en douceur.

  79. Connaître plus d’une langue est aussi une question de culture générale… On peut être bilingue tout en étant un québécois francophone fier de ses origines 😉
    Oh et, dernière chose: ceux qui font remarquer que les jeunes ont de la difficulté à écrire en français… surveiller au moins vos fautes.

  80. @Love
    Bilinguisme pour qui ? Oui je suis bilingue. Même quadrilingue. C’est un outil. Mais je n’ai pas à détruire mon système d’enseignement, ma culture, mes racines et mon héritage. Vous avez une bonne partie de l’univers pour l’apprendre cette langue. Je n’ai pas à tolérer que l’on vienne DÉTRUIRE petit à petit ce qu’il nous reste au nom de n’importe quoi, surtout pas de cette manière écoeurante.
    Pourquoi les anglos ou les immigrants devraient apprendre le français. Pour eux le français c’est de la merde, une langue de perdants de ‘losers’……………… Love. Allez dans le reste du Canada pour voir ce qu’ils pensent VRAIMENT des frogs et de leur langue ? Au fait c’est ‘full plein’ de sales french-canadians du PLQ qui pensent la même chose. Avant la loi 101, 95% des immigrants allaient à l’école anglaise. On rêve de revenir à cela.

  81. J’ai étudié en langues au Cégep de 1999 à 2001 , apprendre des langues de façon intensive demande beaucoup d’efforts, j’ai vu plusieurs personnes se décourager et abandonner avant même la fin.
    Il faut se souvenir que nous sommes la province FRANCOPHONE du Canada et il est important que cela reste la langue première avant tout.
    Comment oser vouloir proposer de l’anglais intensif alors qu’ ils ne maîtrisent même pas la langue française et écrivent en sms sur le net et partout, c’est honteux!
    C’est important de nos jours d’au moins se débrouiller en anglais, mais il faudrait s’assurer avant tout que la langue première est parfaitement acquise sinon dans peu de temps le français deviendra minoritaire, surtout si on laisse les gens venant d’ailleurs libres de parler l’anglais. Quand les gens veulent vivre en anglais il y a 9 autres provinces pour eux, celle-ci est francophone et tous les gens devraient obligatoirement parler cette langue avant de vouloir en parler une autre.
    Quand on entend dire que même à l’université, les étudiants font plein de fautes en écrivant leur propre langue marternelle, c’est un non sens d’exiger de l’anglais intensif, cela aura juste pour bût de faire de notre province une provaince anglaise.

  82. Meilleure solution. Foutre tous les anglos à l’école française ! et fermer toutes les écoles CEGEP anglos. Comme cela les francophones comme les anglophones seraient traîtés de la même manière et l’apprentissage de l’anglais serait inutile parce que il y aurait fréquentation forcée aux même programmes. Je rêve bien sûr parce que des anglophones comme Jean Charest et une bonne partie des gens du PLQ haissent le Québec. Pas question d’intégrer les anglos en français au Québec. Au contraire la direction va toujours dans le même sens. Réduire le français même au seint de ses propres institutions ! Un réseau UNIQUE en français ou l’on pourrait apprendre hors de l’école en été, n’importe quelle langue, mais pas pendant l’année scolaire mais en été et en stage.

  83. Ne vous inquiétez pas ,j ai un fils qui sera en 6ieme l année prochaine et je n ai pas peur de quoi que se soit,si vous pensez qu il sauront parlez anglais en arrivant au secondaire ,vous rêvez .si je me fies à ce qu’ il a appris depuis 2 ans en anglais ,des cours irréguliers avec des dessins sur un carton ,à apprendre par coeur pour un examen au 7 semaines,ridicule et inefficace.J’en ai un autre qui a fait l ‘école anglais intensif de 6 ieme année,ce qui a eu pour résultat « ça m’a rien donné sauf de comprendre plus vite,ça servi à rien il fallait attendre les autres qui débutait. »faudrait laisser les enfants vivre leur enfance au primaire,je ne pense pas que leur imposer l’anglais la moitié de l’année puisse l’encourager à évoluer ,c’est trop tôt.Le secondaire est là pour ça.Que feront on avec les enfants qui ne seront pas capable de suivre?parce qu il y a aura trop de pression,en plus d’échouer l’anglais ,ils vont échouer les autres matières ,car ils auront manquer de temps pour y travailler.

  84. Hum…il ne faut PAS OBLIGER systématiquement tout le monde mais plutot offrir le service à ceux qui le veulent. Les parents doivent juger par eux-même ce qui est bon ou non pour leur enfant. Étant mère d’un enfant avec des problèmes d’apprentissage et d’attention, je me questionne si elle aurait été capable de réussir sa 6ieme année. Déjà , elle partait avec un retard en mathématique sur les autres et a eu besoin des services de l’orthopédagogue et de récupération durant toute l’année.Et malgré tout, elle va certainement se retrouver en classe ressource au secondaire (classe pour jeunes qui ont un retard dans une matière ou plus)car, elle ne réussira probablement pas les mathématiques. À notre école, il exste une classe d’immersion anglaise durant 6 mois et l’autre 6 mois, il font les autres matières et elle n’aurait pas pu participer à cette classe car, il faut que les étudiants n’éprouvent aucunes problèmes d’apprestissage pour réussir. C’est pourquoi, je crois que pour les élèves « moins bon », cela ne les aideraient pas et c’est sans parler des professeurs. Imaginez que déjà, ils en ont plein les bras avec l’intégration des élèves en difficultés car, il manque de ressources aidantes pour ces jeunes (orhtopédagogues, TES, Tech en orthophonie, psychologue, accompagnatrices, etc) et souvent, les profs doivent adapter leur matériels pour les aider.
    Avant de penser à mettre obligatoire l’anglais en 6ième, baisser donc le nombre d’élèves par classe, ajouter des ressources aidantes pour tous les éleves et surtout pour les élèves en difficulté et motiver les jeunes à rester à l’école!

  85. Je suis présentement en secondaire 4 et j’ai fait le bainlinguistique en 6e année. Je pense que d’obliger un tel programme à tous les élèves serait une erreur, car ce n’est pas pour tout le monde. De faire son année scolaire en 5 mois peut être très difficile pour certains élèves qui n’ont pas les capacités. Je crois qu’il devrait seulement y avoir plus de cours d’anglais durant tout le primaire avec des professeurs qualifiés, qui parle bien l’anglais et qui ne parleraient pas français lors des cours, car il est vrai que de savoir parler plusieurs langues aidera beaucoup les jeunes pour leur futur. Il devrait y avoir des bainlinguistique dans chaque école et les élèves qui veulent le faire ne devraient pas être refuser, mais les élèves qui ont de la difficulté à l’école ne devrait pas être forcé à le faire.

  86. Hummm Honnêtement chacun a droit à ses convictions. Et je pense que la plupart seront d’accord avec ce fait. Mais honnêtement une certaine personne ici devrait recevoir DES COURS DE SAVOIR VIVRE quand vient le temps d’exprimer ses opinions. On ne règle rien et on ne convainc personne en les traitant comme des imbéciles.
    Et dans les cours de psychologie, ils disent bien que les autres sont le reflet de soi-même….donc une certaine personne ici a très peu d’estime de soi….il y a de très bons psy vous savez !
    Avant d’obliger des cours d’anglais va falloir obliger des cours de gros bon sens, de savoir vivre, de respect et d’expression polie de ses convictions pcq y’en a pour qui cette discussion tourne vraiment au ridicule et quelqu’un est présentement en train de passer pour un grs imbécile pas de cerveau et très mal poli !
    Bonne nuit !

  87. Je suis contre, parce que ce ne sont pas tous les enfants qui seront capables de suivre. Que ferons-nous de ces enfants? Ils gâcheront leur année scolaire et doubleront l’année suivante? Bonjour les économies! Est-ce qu’il y aura une immersion des anglophones en français également? On n’en parle aucunement. Mes plus vieux vont dans une école à vocation particulière art-nature et apprennent l’anglais et l’allemand à l’école, en plus d’avoir pris des cours d’espagnol en cours parascolaire.Mon plus vieux n’y arrive pas. Et ma fille de 10 ans a une facilité déconcertante avec les langues. Pour moi, le plus important, c’est de maîtriser le français le mieux possible. Pas de rendre à tout pris mes enfants bilingues. Tant mieux s’ils le deviennent. Trilingues ou mêmes polyglottes, pour certains d’entre eux. Mais on ne peut pas en faire un critère généralisé pour la réussite de sa vie au Québec, où la plupart des enfants québécois vont vivre toute leur vie. On se doit justement de renforcer le français pas le diluer; et d’aider tous les québécois, peu importe leur origine ou leur langue maternelle, à bien vivre en français au Québec. Il y en aura toujours pour monter dans l’échelle sociale ou salariale, ça fait partie de la vie. Ce ne sera jamais le cas de la majorité, peu importe le nombre de langues qu’ils parleront. Quand les gens ont besoin de savoir d’autres langues, ils ont toujours la possibilité de le faire en dehors de l’école. J’ai pris des cours privé d’anglais à l’université et mon mari est trilingue. Améliorez donc la capacité des enfants à lire correctement, ils réussiront mieux en mathématique, dans les sciences et dans toutes leurs matières. Voilà une bonne façon d’aider les enfants à avancer dans la vie. Pas d’imposer une année de fou à une grande partie des enfants qui ne seront pas capables d’être au niveau.

  88. Le gros bon sens c’est de s’occuper du décrochage scolaire et d’enseigner correctement le français. Pour ce qui est de l’anglais, y’en a marre de cette espèce d’obsesssion malsaine. Il est omniprésent. Il est déjà partout. Je l’ai appris sur le tas en quelques mois. En réalité ce qui se profile ici, c’est la peur tout à fait irrationnelle de ne pas être capable de travailler. Le français ‘by the way’ est supposé être la langue de travail au Québec. Bullshit en effet. C’est là le problème. Encore une fois. Non à l’assimilation. Pas besoin d’une mesure stupide ‘half and half’ qui mélange tout.
    On enseigne les maths pas l’anglais. L’anglais c’est une matière à part. J’imagine un peu la rage des enseignants. On leur demande dans le fond de faire un travail EN DOUBLE ! au même salaire avec tous les inconvénients qu’il va y avoir. Charest ne pense qu’à une chose. Flatter ces maudits racistes anglos, ces immigrants frustrés d’aller à l’école française et aux French-Canadians pressés de tout foutre aux poubelles.
    Les écoles half and half au Canada-Français (hors Québec) ont été une CATASTROPHE pour les francophones. Je connais les chiffres contrairement à certains qui aiment traîter les autres d’ignorants.

  89. M. Anthier, moi aussi je connais les chiffres…Du moins ceux que j’énumère dans mon intervention du 2 mars à 19h36, qui sont celles des gens d’origine françaises aux États-Unis et dans le du Canada, ainsi que ceux qui la parlent encore, aussi notés.
    Je suis tout à fait d’accrord avec vous. Cette mesure est très dangereuse, et on semble nous la vendre comme un cadeau. Cadeau oui, mais empoisonné quand on analyse rigoureusement les résultats du bilinguisme obligatoire sur les populations francophones dAmérique. J’ai hâte que l’école québécoise remette dans son programme sa vraie histoire. CA c’est une priorité!

  90. En passant, les meilleures opportunités dans l’avenir seront certainement avec la Chine qui se développe plus qu’à bien des endroits sur notre planète. Les chinois ne parlent pas tous l’anglais. Et ils réussissent très bien. De plus en plus d’occidentaux apprennent le mandarin. Ça ne veut pas dire que tout le monde a besoin de l’apprendre. Et tout le commerce et les relations économiques ou culturelles que l’on peut développer avec les pays latinos-américains? C’est en espagnol qu’il faut aussi se lancer. L’anglais est peut-être un passe-partout, mais il n’est pas essentiel à ma vie. Je suis contente de le comprendre. Ça enrichit ma culture, mais je n’en ai pas besoin pour réussir ma vie. Les enfants de 6ème année n’ont pas tous besoin de l’anglais pour réussir leur vie non plus. Trop d’élèves en difficulté ont besoin de services. Trop de professeurs ont besoin d’un meilleur soutien et des classes plus petites pour bien encadrer leurs élèves.Où seront ces postes de cadres lorsque tous les jeunes seront bilingues? Il n’y en aura pas plus. Commençons donc par rendre notre école meilleure, avec un meilleur taux de réussite scolaire et un plus bas taux de décrochage.

  91. Je suis prof de langues et linguiste. Je suis avant tout francophone et j’aime le français que j’enseigne avec joie au quotidien. Cependant, la réalité est que comme l’a présenté C d’Anjou ce n’est pas  » tous les enfants qui seront capables de suivre. Que ferons-nous de ces enfants? »
    Ma question: ppensez vous pas que ça vaut la peine d’essayer. Mon point est que yy’a des chances pour que ca soit un désastre et si c’est le cas on peut encore revenir en arrière, mais ca ne doit pas empêcher de tenter le coup surtout pour les avantages que ça procure.
    De plus, apprendre l’anglais est beaucoup plus simple que le français avec ses 1000 règles et 1001 exeptions. L’anglais est préférée par les chinois, les corééens, et plusieurs pays veulent ou ont ajouté cette langue dans le curriculum scolaire pour que les enfants le maitrisent tot. Juste parce que c’est une langue simple à apprendre et populaire.
    Le français n’est pas inférieur pour autant mais on se doit comme nation d’être fier tout en profitant de la proximité qu’on a avec son exposition. Notre besoin n’est pas celui de nos enfants qui devront conjuguer avec l’anglais, même s’ils sont à Québec. Quelle meilleure valeur que d’offrir la possiblité de connaitre de comprendre la culture de l’autre mais de choisir celle de ses parents.
    Mon mot de fin est d’encourager les parents à ne pas voir l’anglais comme dévaluant ses propres valeurs, mais plutôt comme relevant le défi pour que l’efant conscient de son environnement choisisse le sien.

  92. Il faut faire attention quand on prend connaissance d’un sondage. Il faut surtout différencier corrélation et causalité. Pour illustrer que toute corrélation n’induit pas nécessairement une relation causale on peut évoquer l’exemple d’un article de Science et Avenir qui s’appuyait sur une étude statistique montrant une corrélation positive entre utilisation de crème solaire et cancer de la peau. Des journalistes pressés en avait conclu un peu vite à la nocivité de la crème solaire alors que « utilisation de crème solaire » et « cancer de la peau » n’étaient que la conséquence d’une même cause : l’exposition au soleil .
    Alors le lien entre la maîtrise de plus d’une langue et le revenu n’est pas si clair. Je veux dire que d’autres facteurs interviennent dans cet état de fait.
    Je crois par ailleurs que la 6ème année en anglais induirait plus d’inconvénients que d’avantages.
    Ici, à Granby, une école primaire qui sert de cobaye depuis quelques années songe sérieusement à abandonner ce projet, les résultats étant plutôt négatifs.

  93. Hélas on ne devient parfait bilingue que si l’on en éprouve le besoin . Ce qui est très important c’est de maïtriser parfaitement une langue afin de bien communiquer. J’ai une connaissance de l’anglais fonctionnel, que j’ai appris par moi-même déja adulte, ce qui ne m’a pas empêché de travailler pour une compagnie américaine et de faire de longs séjours aux États-Unis. Je maîtrise toutefois parfaitement le Français et heureusement au Québec, je peux m’exprimer par écrit dans un excellent français ce qui m’a permis d’avoir une riche carrière. La connaissance d’une langue seconde n’apporte pas plus de connaissances mais seulement un véhicule supplémentaire de communication. Vouloir absolument faire de l’immersion en anglais ne va pas nous rendre plus savant, bien au contraire. L’être humain à horreur des contraintes et il suffit de voir le vocabulaire véhiculé sur internet pour voir à quel point le franglais prendra de plus en plus de place dans la société Québécoise. Le danger dans tout ça c’est qu’à partir du moment ou toute la population sera bilingue, alors ce sera la fin de la langue française au Québec car à quoi bon parler le français puisque tout le monde pourra communiquer en anglais. Prenez l’example des francos-américains qui pourtant vivaient en communauté au siècle dernier lorsqu’ils ont émigrés aux États-Unis. Combien parlent encore le français aujourd’hui?
    L’école doit être un centre d’acquisition du savoir alors de grâce, faites en sorte que nos enfants ne soient pas des handicapés intellectuels car à quoi bon d’être bilingue si l’on a rien à dire.

  94. Dans le passé,ayant fait partie des comités d écoles et comité de parents,On a instoré l anglais intensif en 4 ieme anné,et j étais en faveur.Mais nous avons remarqué qu un enfant a beaucoup moins de difficulté a apprendre plus jeunes.Alors l anglais intensif en 6 ieme année je suis contre.
    Nous devrions instaurré l anglais a partir de la premiere anné et les enfants ne serraient pas en intensif,Car on parles,et sa toujours été le cas,de décrochage scolaire.Je me posse sérieusse la question,le décrochage va t-il aungmenter,pour ma part je le crois.Qu on arrete de jouer au yoyo
    aves nos jeunes et ils aurraient moins de décrochage.Pas étonnant que nos jeunes décrochent.

  95. Je trouves ridicule ceux qui associent nécéssairement langue et culture… même si tous les Québécois parlais demain l’anglais exclusivement, vous croyez qu’on serait pareil que le reste des province Canadienne? N’importe quoi, comme si tous les anglophones avaient la même culture… c’est complètement ridicule… Nos cours d’histoires resteraient pareil, notre personalité serait la même, nos désirs et passion resterait les même… De toute façon, si on souhaite devenir une société de type 1 (planétaire) un jour faudra bien adopter l’anglais comme les autres pays comme langue première…

  96. @Denis
    Pédagogie ? Mais non ! Il s’agit d’acheter des votes ! C’est tout ! Si Charest trouvait rentable électoralement d’avoir un cours de culture de champs de pote, ou des cours de comment faire des fims porno, il en ferait la promotion ! C’est tout croche comme d’habitude. Il ne s’agit pas de pédagogie mais de démagogie d’une putain politique qui annonce des friandises à sa clientèle électorale. Exactement comme le stade de hockey. Garroché et tout croche. Et quoi encore ? L’homme est une crapule médiocre. A l’image des French Canadians à la Elvis Gratton. ‘J’parle balingue moé madame.’ Je suis ‘full plein’ man. La démarche est à peu près aussi sérieuse que cela.

  97. C’est sur,juste pour être camionneur US,faut que tu parles,anglais et espagnol.Ceux qui pensent protéger la langue française en gardant les gens IGNORANTS ça marche pas.
    Vous voulez protéger la langue française,BAISSEZ LES IMPÔTS,nos jeûnes vont trouvez un AVANTAGE à rester ici.
    Quand j’ai commencer à faire du transport,je ne comprenais rien quand je demandais une information,déjà qu’on ne dors pas pantoute dans cet emploi D’ESCLAVE.
    Pn a deux gouvernements au Québec,ça monte les impôts,nos jeûnes s’en vont et on les remplacent par des immigrants qui parlent anglais.
    En plus de l’anglais,ça va pendre l’espagnol.Oui à l’anglais le plus jeûne possible,dans les garderies,ça ne couterait rien de leurs mettre des dessins animés en anglais et en espagnol,oups il faut que ça coûte cher au Québec.

  98. On a le droit d’envoyer promener les autres,traiter les autres de parfaits imbéciles de French Canadian,ça manque un peu de respect.
    On peut ne pas être d’accord avec un opinion sans taiter les autres d’imbéciles.Je parle moi-même l’anglais,l’esppagnol et je suis en train d’apprendre le russe parce que je veux quitter cette province mal gerée,j’en ai raz le bol des polititiens voleurs qui détruisent notre avenir.
    Je suis pour que nos jeûnes soit bilingues,au Nouveau-Brunswick Irving contrôle tout et les jeunes s’en allent en Ontario,au B-C en Alberta.Ça permmet de partir,c’est bien d’être bilingue.
    Quand notre gouvernement manquera assez de main d’oeuvre il baissera les impôts.

  99. @Marin = Je suis complètement d’accord avec vous concernant les franco-américains! Et on peut dire de la même chose des autres francophones du Canada! C’est ce que j’ai expliqué dans mon premier message du 2 mars à 19h36… C’est un PENSEZ-Y BIEN je le répète! Il ne faut pas que voir les supposés avantages lancés pour suivre le mode du culte du bilinguisme qu’on nous lance, mais bien regarder plus loin que le bout de son nez…

  100. Il y a du bon dans ce débat et la proposition de l’immersion en anglais. Je crois que ça va faire reprendre conscience aux gens que la situation du français au Québec est toujours et sera toujours précaire, vu sa situation Nord-Américaine. Depuis la mise en place de la loi 101, trop de gens se sont dits «maintenant, la pérennité de notre langue est assurée à jamais à cause de cette loi…». Or, la réalité est tout autre, Ce fut, c’est et ça sera toujours un combat. Ca va faire relancer sérieusement le débat sur la défense de la langue à mon avis, alors qu’on croyait, par la loi 101, terminé. On croyait que c’était un acquis, or la réalité est tout autre.

  101. Je trouve l’idée interessante, ma fille est en premiere année, elle assimile tres bien ses cours d’anglais, par contre la prononciation y’est pas ( encore) ce qui est tout a fait normal- ils ont déja du mal a controler leur langue maternelle faut pas abuser.beaucoup arrivent meme pas a dire mErci et disent mArci alors thanx on repassera lol..a la 6ieme tout en anglais c’est peut-etre un peu trop mais rapprocher la fréquence des cours ce serait bien parce qu’un seul cour pour toute une semaine….c’est peu ( tout comme l’éducation physique…). En secondaire un on fait une revision de tout notre primaire donc a mon avis personnel c’est en secondaire un que les éleves devraient mettre l’accent sur leur 2ieme langue.Quant ils maitriseront mieux la premiere en fait…La principale raison pour laquelle je trouve ce projet bien (quoi que mes opinions sont legerement différentes)est que beaucoup de québécois ne parlent pas anglais- ils le lisent, le comprennent mais ne le parlent pas donc forcément les enfants c’est souvent pareil eventuellement.Le fait d’avoir des parents bilingues aide beaucoup mais pour ceux qui n’en ont pas c’est a l’école de prendre la releve puisque la vie d’un éleve- c’est l’école! J’ai toujours approuvé les ‘voyages-études’ dans les autres provinces specifiquement parce que c’était pour ameliorer notre anglais- on a fait de meme pour les cours d’espagnol.Et puis pour une 6ieme tout en anglais faut déja que les profs aussi le parlent bien…moi j’habite a la campagne et pis je peux vous dire que certains profs parlent anglais comme une vache peut parler espagnol! Donc faut revoir les formations des enseignants aussi….beaucoup de pain sur la planche pour ce projet qui ne verra peut-etre pas le jour dans toutes les écoles primaires publique mais je souhaite quand meme ‘bonne chance’ a ce projet…mais je ne crois pas que la priorité en ce qui concerne les enfants et la scolarité soit de les faire parler anglais le plus tot possible! Revoir ses priorités pour leur bien serait de mise….parler anglais n’est pas une priorité quand tu as 11 ans et que tu as déja du mal a lire et ou ecrire! Y’a trop d’enfants en difficulté dans les écoles primaires en ce moment pour que ce projet voit le jour et je serai choquée de le voir naitre alors qu’on aide a peine les enfants qui ont déja de la difficulté en francais et-ou- autre matiere prioritaire au nivau primaire.

  102. Il faut insister davantage pour que les finissants du secondaire ait une maîtrise parfaite du francais au québec. Il serait intéressant d’apprendre aussi l’anglais et l’espagnol mais pas au détriment des autres matières. Le problème de l’apprentissage d’une langue,c’est de la maintenir ds un contexte ou on ne l’utilise pas beaucoup..

  103. Bonjour,
    En tant que prof d’anglais qualifiée, je crois qu’il est très important que les enfant aient tous accès à l’anglais intensif en 6e année. Ils sont les premiers touchés ainsi que leurs parents. Mais plusieurs adultes ne font que pensez à leur nombril de français et mettre des oeillères à l’ouverture que ces enfants auraient avec une anglais fonctionnel. Avec un angalis parsemé de 3 cours de 60 minutes au 2e et 3e cycle et 2 cours au 1er cycle (primaire), les enfants ne peuvent pas apprendre autant qu’ils le pourraient, malgré toute la bonne volonté des profs d’anglais. Moi-même je crois donner le mielleur enseignement à mes élèves avec le temps que j’ai. C’est donc pourquoi après toutes mes recherches pendant mon Baccalauréat, j’ai constaté que les enfants progressent mieux point de vue académique lorsque l’anglais en condensé sur une période de 6 mois.
    Saviez-vous que les enfants en 6e année qui n’ont pas fait l’anglais intensif ont une moyenne de 65% aux examens du MELS comparativement aux élèves d’intensif qui ont une moyenne de 94%?
    On donne un avantage significatiof à nos enfants qui voudraient travailler autre que enfermés dans leurs usines. Par exemple, un ami est soudeur. Il ne parle pas anglais. Maintenant,après plusieurs années à travailler en tant que soudeur, il aurait bien voulu avoir un emploi d’acheteur dans cette même usine mais les conditions de l’employeur sont qu’il doit parler anglais couramment puisqu’ils achètent des pièces en Chine et au Japon et qu’eux ne parlent pas français! La question n’est pas d’assimilation, elle est d’ouverture afin que nos enfants soient aussi avantagés que les autres pays à obtenir le même emploi dont ils rêveront plus tard.
    Nous évoluons en tant que société, les enfants dans mes classes le savent, leurs parents aussi. Il n’y a que ceux qui tentent de l’empêcher qui ne semblent pas comprendre les jeunes d’aujourd’hui.
    N. B. D’après mes recherches, même en 1960 les journaux disaient que les jeunes n’écrivaient pas bien en français, c’est un discours aussi vieux que l’école existe! Alors, ce n’est pas une bonne raison pour ne pas vouloir que nos jeunes aprennent l’anglais de façon intensive. Même si nous sommes éduqués seulement en français dans 50 ans nous pourrons dire quand même que nos jeunes n’écrivent pas bien en français. Alors cessez de ne pensez qu’au français, nos jeunes chercheront quand même à continuer de parler et d’écrire en français, c’est leur langue maternelle.
    Une prof d’anglais qui travaillent tous les jours avec des enfants dans l’école publique québécoise

  104. L’anglais devrait être enseigné dès la 1ère année et non seulement à partir de la 6e année. Une troisième langue devrait être enseigné dès le secondaire 1. Malgré tout, c’est un bon début de changement qui devrait normalement bien passer dans la population réfractaire et conservatrice.

  105. En tant qu’enseignante expatrié dans un coin du Canada à cause de la fameuse loi 101… je peux affirmer que les gens devraient absolument avoir le choix de la langue pour leur enfant. Les enfants sont capables d’assimiler autant de langue que l’on veut en bas âge. Pis en plus, ils parleront sans accent.

  106. Savoir communiquer avec ses partenaires économiques mondiaux est une chose essentielle pour quiconque qui le désire. Le danger, danger qui est bien réel et dont on sent l’influence jusque dans des banlieues éloignées de Montréal, c’est de se mettre à s’identifier à cette langue et à la culture à laquelle elle appartient. Et cette culture dominante, en Amérique, a toujours voulu et réussi à abolir les institutions et les communautés francophones, en implantant une pensée insidieuse que notre langue et notre identité sont inférieures. Le Québec EST et DOIT rester FRANCAIS! Le caractère obligatoire du bilinguisme offert par M. Charest est tout simplement absurde. Même que Gérard Bouchard dit qu’on est criminel de tourner le dos à l’anglais (mais bon je crois qu’il a l’air plus ridicule que d’autre chose avec cette déclaration)! On peut vouloir ENCOURAGER l’apprentissage de plusieurs langues, mais l’IMPOSER, ça relève de la discrimination. Tout simplement. Et cette discrimination, et bien c’est l’histoire de la francophonie en Amérique depuis la conquête britannique.
    La lutte pour la diversité culturelle, dans un contexte de mondialisation, c’est le coeur de mon combat.

  107. Considérant le fait que la plupart des offres d’emplois exige le bilinguisme, je crois qu’il serait nécessaire d’apprendre l’anglais dès le primaire et de façon plus intensive. N’oublions pas qu’en bas âge nous sommes plus apte à l’apprentissage en général. L’oreiille se familiarise rapidement ainsi que la mémoire emmagazine et retient les informations plus facilement. Encore faut-il avoir l’occasion de vivre dans un milieu bilingue afin de ne pas perdre ce savoir avec le temps! Je répondrai certainement, si et seulement si, nous fonctionnons dans un milieu bilingue durant toutes nos études et ainsi de suite…Il n’est pas normal de devoir payer des cours extra-scolaire en anglais pour pouvoir obtenir un poste convoité. À moins bien sûr de bénéficier de formation continue par son employeur. Soyons francs, entre deux candidats détenants les mêmes compétences qui aura priorité?

  108. Pendant qu’on s’inquiète de quelle façon la plus efficace d’apprendre l’anglais, on ne s’aperçoit pas que tous les monuments du Vieux-Québec se font démolir un après l’autre par un maire qui semble vouloir que sa ville soit le prochain New-York…

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